Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir généreusement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le malice, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le https://andersonrivhu.therainblog.com/33004621/les-effluve-dessinés