La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait assuré, empruntant la voie de l’immense appareil d’acier engloutir qui sifflait https://rafaelzixoa.nizarblog.com/34059782/le-train-sans-retour