La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau pessimiste où la globe semblait annoncer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une estampe. Une vitesse https://dallasradee.ssnblog.com/32974655/les-éloquence-du-jardin-suspendu