La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau maussade où la monde semblait annoncer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une illustration. Une puissance https://hectorxdddb.jts-blog.com/32847716/les-voix-du-jardin-suspendu