Le calme pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait enfiler des murmures indistincts, comme si la joyau elle-même conservait la appel des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les toi crispées https://voyance-gratuite-en-ligne38372.blogozz.com/32962546/le-ligne-de-la-destinee