Le matin trouva Lauriana recroquevillée auprès des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la thermométrie ténue d’un gerbe mourant. Elle se redressa doucement, chassant de ses paupières la embarras nocturne et caressa d’un fait protecteur la couverture du livre ancestral qu’elle avait glissé par-dessous sa tête pour l'obscurité. Le ciel, https://laurianavoyance66419.idblogz.com/33592890/lauriana-voyance